Shöshitsu
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 Quand la pauvreté vient fouiller les poubelles de Shöshitsu [FULL]

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Quand la pauvreté vient fouiller les poubelles de Shöshitsu [FULL] Empty
MessageSujet: Quand la pauvreté vient fouiller les poubelles de Shöshitsu [FULL]   Quand la pauvreté vient fouiller les poubelles de Shöshitsu [FULL] Icon_minitimeMer 5 Déc - 18:02



Haku GINKO



Carte d'identité
☀ Nom: GINKO
☀ Prénom: Haku
☀ Âge: 15 ans (3 mars)
☀ Sexe: Mâle
☀ Orientation sexuelle: Heu...
☀ Groupe: Autres
☀ Nationalité: Japonais

Derrière l'écran
☀ Surnom :
☀ Age : Déjà dit.
☀ Niveau RPG: Moyen
☀ Découverte du forum: J'administre, sisi.
☀ Remarques : /
☀ Personnage de l'avatar : Killua Zoldyck - Hunter x Hunter
☀ Code du règlement : Ok, by Nezu'



Physique


La douleur n'est jamais bien importante quand il ne s'agit que de physique.
Profondément encré dans deux iris azurs déteignant dans la couleur bleue foncée, une paire de pupille noir intense pouvant divulguer toute la puissance sentimentale qu’il peut ressentir. Nous verrons ainsi en se reculant d’avantage de petites mirettes quand bien même expressives, sublimées par des cils d’une couleur ébène soulignant encore plus son regard couleur océan la plupart du temps gâché par de vilaines cernes excessivement marquées par moment ou part d’autre, dépendant du temps de sommeil qu’il a pu gagner pendant la nuit.

Dans l’ensemble, Haku possède un fin visage : Une ligne de sourcil régulière surmontée d’un front suffisamment épais sans l’être trop pour être recouvert par de petites mèches de cheveux blancs de quelques petits centimètres, un nez fin et creusé quand on le regarde de profil ainsi que de minuscules lèvres rosées la plupart du temps gercées et mal soignées. En rajoutant quelques détails, ont peut préciser que ses pommettes saillantes prennent une jolie teinture rouge poudrée ou bien que ses oreilles sont légèrement effilées, ou même que ses dents sont parfaitement alignées alors que deux d’entres elles – Plus précisément les canines – sont un peu plus aiguisées.

On remonte le regard et voici qu’une épaisse touffe de chevelure aussi blanche qu’une boule de neige vient croiser notre regard, la plupart du temps décoiffée en montrant des pointes abimées, cette même chevelure se voit être assez courte, mais tellement pure et claire qu’on ne fait pas attention aux petits défauts d’irrégularité. Reculons encore un peu pour admirer ce qui soutient son fin visage, un cou tellement fin que l’ont pourrait le serrer à une main sans problème et continuant en une paire d’épaules arrondies.

Poursuivons avec une musculature inexistante, simplement une apparence frêle et hypra fragile, un corps donc taillé aussi finement qu’une chips. Une paire de bras aussi musclée que celle d’un enfant de sept ans. Continuons avec de minces poignets portant ses mains et ses doigts déliés eux même supportant de longs ongles qu’il s’efforce le plus possible à soigner pour ne pas repousser les potentiels clients qui voudraient d’un de ces portes-clé. Pour continuer sur les membres – Aucune remarque ne sera admise là-dessus –, prenons ses jambes, tout aussi ténues et chétives que leur supérieurs, finissant par des chevilles où les veines visibles démarquent des traces pouvant faire penser que celles-ci aient été cassées plusieurs fois alors que la suite normale de pieds est toujours visible, cinq orteils chacun, au moins là il n’y a pas de soucis.

Atteignant une taille d’un mètre cinquante-neuf pour un poids qui vire de la cinquantaine au quarante insuffisant, cela reste variable de l’argent qu’il amasse par semaine. Sa masse lui permet de courir vite, et même s’il n’est pas très agile, la plupart du temps cela l’aide à se sortir des ennuis dans lesquels il est allé se fourrer. , A part cela, Haku possède une pilosité inexistante, ou s’il en a, celle-ci se trouve être très blonde et donc quasi-invisible Encré dans sa main, le chiffre ‘42’ est tatoué profondément, marque de son passé mais aussi un surnom qui s’était fait fréquent.

Aussi quand on pourrait admirer son dos nu quelques marques rouges jamais parties du à des punitions un peu trop intenses et également sa colonne vertébrale ressortant quelque peu trop. Pour le détail, une grande tâche de naissance se trouve sur son omoplate droite, celle-ci d’un violacé-marron un peu singulier, modelant comme un cœur quelque peu difforme. Plus bas, une cicatrice longe son bassin sur le côté, vers la hanche gauche, signe de maltraitance qui lui est encore une fois resté.

Des tics fréquents chez le jeune homme peuvent se remarquer facilement lorsque l’ont s’avance près de lui, un automatique mouvement de recul se fait exécuter de sa part, levant le poignet légèrement, les doigts se ployant légèrement. Par la suite, comme toute personne normalement constituée, il se mord l’intérieur de la joue une fois stressé ou se ronge les ongles à cause de la nervosité. Pour ses goûts vestimentaires…A vrai dire il est souvent vêtu d’un vieux pantalon troué et un tee-shirt déchiré qu’il a put trouver dans les poubelles du coin qu’il a au préalable lavé dans un point d’eau pur lorsqu’il en trouve. Gardant sans cesse un bracelet en métal au poignet, il n’a jamais su comment s’en débarrassé mais cela ne le gêne pas plus que ça.

En résumé, c’est un petit albinos et il s’appelle Haku Ginko…



Caractère


Pauvre de l'extérieur mais riche d'intérieur...
« Porte-clé, cent yens…
- Désolé, je n’ai pas d’argent…
»

Bon, commençons par le commencement. Haku, jeune garçon orphelin ayant travaillé dans une usine clandestine assez stricte et horriblement traumatisante – Je suis un monstre, amen – possède un mental particulier : Il possède la timidité d’un agoraphobe et l’innocence d’un gamin de dix ans, son esprit demeure craintif et reste tout de même excessivement difficile à approcher. Cependant, peureux ne veut pas dire incrédule, celui-ci est naïf et une fois sa confiance en poche il est très facile de le manipuler.

Ce dernier ne possède aucun talent, sachant cependant coudre à la perfection, grâce (Ou à cause) des longues heures passer à s’écorcher les doigts sur les fines aiguilles, assis sur des bancs aussi durs que de la pierre. Pour en dire plus, le petit détient également une patience inégalable, pouvant attendre des semaines, voir des mois avant de se lasser de son objectif. Ce dernier connait également par cœur la constitution d’un revolver ou d’un fusil à pompe, ceci étant dût aux mois passés dans l’assemblage illégal de ces armes dont il n’en connaissait pas la dangerosité. Sinon que dire d’autre, il est plutôt gentil et souriant, enfin souriant, plutôt gardant un demi-sourire forcé pour ne pas faire fuir les potentiels clients qui voudraient le souvenir d’un gamin paumé dans la rue.

Sinon, le jeune, jamais allé à l’école ne sait ni lire ni écrire, pouvant difficilement se repérer il reste donc systématiquement aux mêmes endroits pendant des jours. Adorant les jours de pluies rafraichissantes l’été et le chaud soleil réchauffant l’hiver, la tournure du temps est devenue sa bête noire, comment pouvoir être à son aise les pieds nus dans la neige ou sur le sol brûlant et sec ? Généralement, il essai le plus possible de se caler dans un coin avantageux pour lui.

Conservant certaines habitudes, on pourra le voir des fois fouiller les poubelles à la recherche d’un potentiel reste de nourriture pas déjà consommé par les charognes des environs. Ce qu’il déteste, ce sont sûrement les gens qui passent à côté de lui en se moquant, d’un faux air de compatissance abjecte dont il se passerait bien, les regardant de moitié, essayant quand même de vendre le peu de marchandise qu’il arrive à acheter de même temps qu’un peu de nourriture à peu près convenable.

Sinon, sa pigmentation préférée reste le bleu ciel, la couleur d’un certain rêve et d’une certaine fraîcheur qu’il aimerait trouver un jour, des fois absorbé par la vue d’une douce famille heureuse et riant aux éclats, les enfants jouant gaiement à chat alors que les parents les avertissent des risques auxquels ils étaient exposés si ils se chamaillaient un peu trop, bien sûr le bleu résumait aussi bien cette scène pour sa part puisque la signification de ce coloris océan pouvait tourner à la mélancolie. Il aime également les félins, certains venants gentiment se frotter avec un semblant d’affection à son égard contre lui, pouvant le consoler un peu de sa solitude par la douceur de leur pelage.

Adorant la musique, seul art qu’il peut à peu près comprendre à cause de son analphabétisme, il s’assoit souvent devant la seule école de mélomane qu’il y a dans sa ville quand ce dernier passe par là, pour écouter les pianistes jouer talentueusement sur les touches noires et blanches de leur clavier, les violonistes faire retentir leur douce mélodie envoutante grâce à leur cordes ou bien les saxophonistes laisser résonner leur souffle dans le métal doré de leur instrument.

Un autre goût à part, lui, les fêtes il n’aime pas tellement ça, sentir la bonne odeur de chocolat à Pâques lui donne d’irrésistibles envie et que dire de l’émanation du parfum de la dinde farcie s’échappant des fenêtres du voisinages, mais souvent il arrive d’aimables personnes qui lui offre un peu plus d’argent par amabilité et gentillesse, lui laissant le loisir d’aller s’acheter quelque chose avec le peu qu’il a.



Histoire


L'espoir est une mémoire qui désir...
8 ans.

Seul, abandonné, luttant, Haku ne gardait plus aucun souvenir, maintenant. Assommé pour être ensuite transporté dans une ville inconnue, par manque d’argent sa génitrice prit l’égoïste décision de le laisser dans une ruelle, sa vie d’avant n’avait déjà pas été glorieuse, celui-ci vivant dans un très petit taudis tombant en ruine, ce dernier n’allait pas à l’école et était traité d’inconvenante façon, mal nourris, mal logé aussi, c’était ça la vie d’un ‘pauvre’ dont la mère ne travaillait pas. Personne ne faisait attention à lui, son crâne lui tapait et sa solitude commençait déjà à lui faire craindre le pire, se terrant dans un mutisme considérable, le petit cherchait des yeux sa chère et tendre maman qui maintenant n’était plus à ses côtés. Alors il s’assit et attendit son retour, sur le bord d’un trottoir alors qu’une tombée de neige préludait. Il resta sur son bord de trottoir pendant trois à quatre heure, regardant les gens passer en trottinant, un parapluie au dessus de la tête alors que toujours sa mère ne réapparaissait pas, prit au dépourvu il se leva et prit la sage décision de marcher dans l’espoir de la revoir. Rien, des jours passaient alors qu’il fouillait toujours les rues, n’ayant prononcé un mot de toute ces journées, ses pieds endoloris et ses paupières commençant à tomber, il arrêta, totalement atterré, maintenant c’était perdu. Se laissant choir sur le sol d’une rue déserte, essoufflé, affamé, le froid commençant à le pétrifier lentement. A l’aube, le petit corps de l’albinos était couvert d’une dizaine de gelures alors que celui-ci rouvrit les yeux alors qu’une personne grande et étrange se présentait devant lui.

« Hé, gamin… ?
- Mh… ? »

10 ans.

Deux ans sont passés, et sa naïveté à payé. Juré, plus jamais il ne se fera avoir, mais c’était trop tard maintenant. Une longue discussion et sa confiance accordé, la promesse qu’il allait retrouver sa chère génitrice et surtout un mensonge affreux dissimulé dessous. Depuis deux années maintenant qu’il travaille à s’écorcher les doigts, qu’il se fait punir et que pour le garder en vie on lui offre une misérable miche de pain tout les deux jours. La douleur, maintenant il la connait.

Maintenant à son anniversaire, à sa dizaine d’année, à ce jour précis alors que ce dernier entend retentir dans les couloirs pâles de ce semblant de prison, depuis la couverture plié en trois sur laquelle il couche, des cris de douleurs et des supplications ainsi que des échos de coups sûrement pour des sanctions ayant pour signification un « Ferme ta gueule » : Un homme vient ouvrir la sorte d’immense cage dans laquelle sont enfermés cinq à huit garçons, dont lui, pour chopper son bras et l’emmener sur une chaise.

Une heure plus tard, alors qu’Haku se forçait depuis tout ce temps à retenir des larmes et des cris de douleur, simplement en se mordant la joue et en se griffant la paume de sa main libre, un tatouage est désormais présent, le chiffre ‘42’, maintenant c’est son nom, un simple et banal numéro qui sera dorénavant sa seule appellation.

12 ans.

Toujours plus de travail, son dos le fait souffrir et son échine se voit recouvert de bleus, de rougeurs et de cicatrices, à jamais éloigné des autres, son regard se porte souvent vers le denim ciel printanier caché quelques fois par de petits moutons de nuages blancs ou se découpe de fins rayons de soleil matinaux, la rosé venant posé sur les fleurs une douce odeur de l’aube, c’en est assez, l’enfant voudrait, non, il veux retrouver sa liberté.

Une faille et il s’échappe de justesse en évitant un coup de pied d’un de ses supérieurs lui ayant rabâcher un habituel ‘Travaille, et dépêche toi’, emportant avec lui la modeste boite à moitié remplie de porte-clés d’animaux qu’il s’était fait un plaisir de faire quand les autres dormaient et que lui, n’ayant pas réussi à trouver sommeil, avait cousu pendant les nuits d’insomnie. Laissant l’arme qu’il était en train d’assembler en plan, poursuivi maintenant par deux trois colosses armés, ressortant vivant mais blessé au bassin, courant de tout son souffle, de toute sa peur, parcouru d’adrénaline, s’enfuyant d’un enfer qui aura trop longtemps duré.

Enfin le bon air frais, enfin un endroit sans mur, sans barreaux, une liberté épanouissante, caressant sa peau d’une brise douce et le soleil atteignant son corps pour le réchauffer un peu, quel beau spectacle s’offrait à lui alors qu’il courait, s’arrêtant une fois que ce dernier fut sûr de ne plus être filé. Le numéro quarante-deux n’était plus, il s’arrêta pour s’asseoir sous un arbre au feuillage luxuriant, la bruine qui s’était déposé sur ce même arbre laissait les vapeurs d’eau transportant une douce odeur de sève, c’était ça…L’étreinte de la liberté ?

14 ans.

Voilà qu’il parcourt les villes et les villages en vendant des portes-clé et en faisant les poubelles, voilà qu’il marche, ses pieds usés de douleur et ses vêtements crasseux au possible, ayant eu le temps de réfléchir à un nom qui lui conviendrait, depuis deux ans il n’avait toujours pas trouvé. S’arrêtant au bord d’un lac, le jeune homme se dévêtit complètement et entreprit de laver ses vêtements dans une forêt déserte, aucun bruit, c’était paisible ici.

Le jeune vient tremper ses vêtements dans l’eau clair et en profite pour lui-même y plonger passant un coup d’eau sur lui-même, cela lui fit tant de bien qu’il y resta une bonne demi-heure, regardant d’un air fatigué son reflet, il réfléchissait, éternellement il n’avait plus de nom, c’est alors qu’une étincelle lumineuse vint traverser son esprit, ça y est, son nom ce sera…

Haku Ginko, 15 ans.

Depuis quelques jours, il séjourne dans une ville du nom de ‘Shöshitsu’ pour son anniversaire qu’il a désigné être le 3 mars. Sympathique, accueillante à première vue, saison froide d’automne, il est allé se caser dans un coin ou pas mal de sans logement vivent, personne ne fait attention à lui et c’est mieux ainsi, proposant quelques portes-clé, ce dernier fait régulièrement les poubelles de ce milieu urbain pour trouver de quoi se nourrir, voilà une grande ville qui promet peut-être un avenir un peu tranquille…

Ou pas… ?



Précisions


Solitude: Douce absence de regards...
❇ Haku n'a pas de nom officiel, "Ginko Haku" est un nom qu'il a choisi de lui même sur le bord d'un lac.
❇ Sur le dos de sa main est tatoué '42'
❇ Il est orphelin mais garde l'espoir de retrouver sa mère.
❇ Ce dernier a légèrement peur des gens et est claustrophobe.
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Nezumi Asegawa
Psychopathe dégénéré
Nezumi Asegawa


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MessageSujet: Re: Quand la pauvreté vient fouiller les poubelles de Shöshitsu [FULL]   Quand la pauvreté vient fouiller les poubelles de Shöshitsu [FULL] Icon_minitimeMer 5 Déc - 19:50

# Je m'auto-valide ! *Schizophrèèèèèèèèène* - Oui bon je sais ça se fait pas mais bon.

Validée
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