Liem Vãn Hoang, un gamin parmi les autres.

Messages : 3 Date d'inscription : 23/09/2012

Liem VAN HOANG

Carte d'identité

☀ Nom: Vãn Hoang
☀ Prénom: Liem
☀ Âge: 16 ans
☀ Sexe: Mâle
☀ Orientation sexuelle: /
☀ Groupe: Lycéens
☀ Nationalité: Vietnamien/Japonais

Derrière l'écran

☀ Surnom : Raphy
☀ Age : 543 ans.
☀ Niveau RPG: Moyen
☀ Découverte du forum:...I am Nezumi \o/
☀ Remarques : Aucune.
☀ Personnage de l'avatar : Seto Kousuke - Kangerou Project.
☀ Code du règlement : Ok, by Nezu'

Physique

« HEIN ?! Je suis pas petit d’accord ?! J’ai juste un retard de croissance ! »

- Oui, Liem, tu es grand, ne t’en fais pas.

Être un nain et faire un mètre cinquante à seize ans, c’est pas toujours facile, et souvent, on oublie que, même si sa taille reste un défaut, il n’est pas paraplégique et peut facilement aller loger le bout de sa godasse dans l’entrejambe de gens qui auraient l’audace de critiquer sa particularité physique. Même si on a souvent du mal à imaginer qu’il puisse avoir un âge aussi avancé, ses traits plutôt fins suffisent à faire comprendre que ce n’est plus un enfant. Ses yeux d’un vert émeraude reflètent une profondeur captivante auquel on associe douceur ainsi que gentillesse et rappelle très bien sa nationalité à travers leur forme. Si cette couleur menthe est signification d’échec, la nature à bien fait son travail en donnant de fines joues rougissantes lors de compliments plus ou moins gênants où se dessinent de charmantes fossettes quand son sourire se fait grand.

Le reste de son visage s’accorde parfaitement à ce qui a été cité précédemment, une cavité nasale étroite et légèrement remontée pour donné un certain pointu à la peau qui la surmonte, une bouche mince gardant un coloris rose attrayant, en bref, son visage est canon, y a pas à tortiller. Ensuite, sa chevelure blet préserve une brillance soyeuse et conserve une longueur atteignant le bas de sa nuque environ. Sinon ? Son corps se fait frêle, aussi fragile qu’un oiseau venant de naître. Cependant, même si on pourrait croire que sa force n’égale même pas celle d’un enfant de cinq ans, les apparences sont trompeuses. Il n’est certes pas un champion dans l’art du bras de fer ou ni dans l’art de la boxe, mais son agilité est pour lui sa meilleure arme.

Ce qui est relativement pratique quand on est petit et léger, c’est qu’on n’a pas à faire trop d’effort pour faire un salto ou même marcher sur les mains. Oui, Liem pratique la gymnastique artistique, mais non, ce n’est pas une nana, non mais. Jamais ses yeux ne se gorgeraient de larme pour une entorse et jamais un cri ne sortirait si on lui déboitait l’épaule. Son style vestimentaire, peut importe ce qu’il met, toujours sa tenue sera d’un coloris jade, il n’est pas rare de le voir affublé d’un simple sweat-shirt, d’un jeans et d’une pair de basket. Mais il l’est nettement plus de le voir se trimballer avec du jaune, du rouge, du bleu ou quelque autre couleur. D’où le surnom qu’on lui donne ‘Green’. L’avantage, c’est qu’il peut facilement se camoufler dans un buisson où même en haut d’un arbre feuilli et bien garnis.

Reprenons quelques détails par la suite. Si l’ont regarde ses mains, ont apercevra de délicats ongles toujours bien manucurés pour remonter avec des doigts dits de pianistes. On grimpe encore pour admirer une absence totale de pilosité sur l’intégralité de ses bras. Pour retourner sur son torse, une musculature inexistante, des pectoraux non travaillés et une maigreur à presque en voir les cotes. Un peu plus bas, des hanches en harmonie avec le reste du corps et encore plus bas, une paire de jambe sans poils, parce que oui, Liem n’est pas un yéti, ce qu’on peut remarquer par contre, c’est une cicatrice sur l’avant de son mollet. La seule chose pouvait être admis comme pileux, sera sa chevelure, ça et rien d’autre. Maintenant, laissons le loisir à la description de passer par l’arrière et de gravir encore une fois son corps – Sans double-sens évidemment. Donc, sur son dos, plus précisément sur l’omoplate droite, six minuscules oiseaux. Et sur son oreille droite, fièrement se présente un hélix.

Pour un court résumé : C’est un homme, pas très grand ni très fort, et son nom c’est Liem Vãn Hoang.

Caractère

« Moi, je suis peut-être petit, mais je sais m’amuser… »

- Un peu trop même ?

Joyeux, trop joyeux. Sourire, rire, yeux pétillants. Déprime ? Connait pas. Un mental presque toujours posé, exempt pour la plupart du temps de pensées impures et indécentes, sauf en solitaire, peut-être ? Sexe, drogue, alcool, ce qu’il ne touchera jamais, ça ne l’intéresse pas et surtout, ça le dégoute. Ce jeune vietnamien ne supporte pas de voir ces substances illicites. La violence, le sang, l’horreur, tout ce qui lui donne envie de recracher ses entrailles en bref. C’est, comme on pourrait le désigner, une petite nature idéaliste. Un peu renfermé, pas trop sociable, il reste toujours un minimum poli et courtois envers les gens, et il ne refuse presque jamais rien. Etant très serviable et respectueux, c’est un vrai ange avec le peu d’entourage qu’il a. Ange qui, peut très vite se transformer en le pire des gamins lorsqu’on ose dire qu’il fait la hauteur d’à peine trois pommes. Ô complexe de sa petite taille, simplement : C’est une remarque, contre ton entrejambe. L’uns de ses seuls défauts se résume à ses crises de colères de complexé. C’est également un morfale, qui mange comme quatre mais qui ne grossit jamais, morphologie de rêve selon la plupart des jeunes filles qui le côtoient. Malgré tout, il reste discret, rêveur et surtout affreusement gentil.

Passons à ses goûts. Sa couleur préféré ? Le vert, d’où le surnom de Green encore une fois. Lui, il voit la vie en vert, au mode naturel, son animal préféré se résume à un petit oiseau nommé colibri. Oui, un colibri, c’est petit, de couleur émeraude et c’est surtout très rapide, un peu comme lui. Mais ne se leurrons pas, Liem n’est pas aussi petit qu’un oiseau, peut-être aussi grand qu’un arbrisseau à l’âge de six mois, tout au plus. Mais passons, sa passion reste la gymnastique. S’étant déjà cassé quelques os et fait une multitude d’entorse, maintenant, cela ne lui fait même plus peur et son enveloppe charnelle souffre au quotidien grâce à ses étirements et ses exercices, il à déjà remporté plusieurs prix dans sa discipline, autant dire que le nain ne souffre pas pour rien. Ayant payé négativement pour ses incroyables efforts, maintenant il ne grandira plus. Même si à l’intérieur il continue à se dire que sa blessure guérira et qu’il aura la chance d’atteindre la taille qu’il devait initialement faire. Sans compter les loisirs, dans le domaine scolaire, il s’en tire plutôt pas mal mais rester en classe, ce n’est pas pour lui, il préfère profiter de son temps libre qu’étudier.

Quelques détails à part : ses animaux préférés sont les oiseaux. Mais alors…Pourquoi les oiseaux ? Tout simplement un grand symbole de liberté, d’indépendance et de nature. La simplicité même, Liem se compare souvent à ces animaux. Trainant souvent en extérieur, il adore admirer les volatiles en pleine balade. Claustrophobe, rester dans un endroit trop petit lui provoque des vertiges et celui-ci s’y retrouve ensuite malade. Pour tout remède, de longues balades en bords de rivières, dans les vastes forêts ou dans les villages alentours. Il est indépendant et il tient à le montrer. Affublés de quelques tics d’émotions, cela le trahis souvent lorsqu’il veut cacher des choses. Des rougissements par ci par là lorsqu’il est gêné, les dents qui grincent lorsqu’on l’énerve ou bien même les lèvres qui tremblent sous la peur. Des minuscules détails auxquels on ne prête pas souvent attention mais qui peuvent révéler beaucoup de choses. Un détail en plus ? Liem n’aime pas le rouge, il trouve ça disgracieux, c’est relatif à la douleur, au sang, que des mauvaises choses qu’il aimerait voir disparaitre à jamais.

En bref : Liem est un garçon idéaliste, naturel, relativement abordable et un poil colérique.

Histoire

« Petit d’extérieur, mais grand d’intérieur, alors faites pas les malins »

Six ans.

A cet âge là, je ne comprenais pas très bien pourquoi je n’avais pas de parents, on ne me l’expliquait pas et je me contentais de suivre comme un bon enfant les ordres des adultes. Pas très sociable, je m’adaptais à l’écart et je n’y portais pas grande attention. Ce que j’aimais, en dehors des cours que nous faisais suivre l’orphelinat, c’était lire de gros livres de documentaire animaliers, sur la nature ou des romans fictifs avant d’aller me promener et de faire quelques étirements de souplesses. Quand on est seul, on s’amuse comme on peut et puis cela ne me déplaisais pas, j’étais heureux comme ça. J’avais espoir qu’un jour, je pourrais avoir des parents. Bien sûr, comme j’étais seul, les autres en profitaient pour ricaner derrière mon dos, et je m’efforçais de garder le sourire étant donné que ce n’était pas réellement important pour moi. Enfin bref…Passons.

Huit ans.

Après deux années, deux personnes, un homme et une femme vinrent me voir, en me questionnant un peu, je me demandais bien sûr si ils faisaient ça par pitié ou autre, mais non, quelques heures plus tard je fus amener dans le bureau d’une grande dame qui me semblait être la directrice pour qu’elle m’annonce que le couple qui était venu me voir voulait m’adopter. Un désir comblé, mon sourire ne pouvait s’effacer tant j’étais heureux à ce moment là. Mon destin allait changer, j’allais avoir un avenir et surtout un présent loin de cette bâtisse pour recevoir de l’affection parentale ainsi qu’une différente éducation qui allait sûrement me ravir.

Les mois défilèrent, et enfin je me retrouvais devant une jolie maison au cœur du Vietnam, mon pays natal. Là bas, j’étais ravi, tout le temps, les règles étaient moins stricts et mes nouveaux tuteurs me donnait autant d’affection que j’en avais besoin. Je vivais le rêve, toujours je pouvais lire, ce que je voulais et de plus je pouvais me promener sans limite de terrain. Quoi demander de plus ?

Dix ans.

Enfin, j’ai décidé de me mettre à la gymnastique. Je m’entraînais tout les jours et au fil du temps, je devenais réellement fort. Mon père, même s’il rechignait un peu à voir son fils pratiquer un sport dit ‘pour fille’, m’encourageait au moins autant que ma mère. Mes cours se passaient royalement bien, et en quelques mois j’étais sûrement le plus doué de mon groupe dans la discipline. Doté d’une bonne souplesse ainsi que d’une endurance monstre, les agrès et les figures au sol ne me posaient plus aucun problème. C’est ainsi que je me lançais dans de petites compétitions ou le plus souvent on gagnait un ruban ou autre, mais pas plus. J’étais classé la plupart du temps dans les premiers et j’étais toujours aussi content, et on avait beau me critiquer en me comparant à une fillette, je m’en contre-fichais, je faisais bien ce que je voulais, oh !

Douze ans.

Compétition nationale junior, j’eu enfin atteint ce stade qui serait pour moi, une véritable récompense si je réussissais. Je m’étirais juste avant mon passage mais mes jambe et mon crâne me lançaient drôlement, en même temps, n’ayant pas beaucoup mangé ni beaucoup dormi la veille sous le stress, c’était compréhensible. J’ignorais cette douleur et passa au sol, des figures que je passais avec succès pour enfin accéder aux agrès. Poutre, table de saut, etc.

A présent, je me lançais sur les barres asymétriques et exécutais l’enchaînement demandé. Jusque là, tout se passait bien. Puis je me balançai sur la plus hautes barre et…Plus rien, mon corps était devenu lourd en un seul coup alors que j’avais pris de la vitesse, le temps que je reprenne le contrôle de mon esprit, je voltigeais au sol et me fracassa contre celui-ci, j’avais mal à la jambe, terriblement mal à la jambe. L’étonnement des juges qui m’évaluaient en me voyant inerte, possédé de quelques soubresauts étranges avaient dû être relativement marrantes. Les secours arrivèrent et je fus emmené à l’hôpital le plus proche, avec ma maman. Ce que j’ai eu ? Et bien le tibia cassé, le fibula fracturé et complètement déplacé, celui-ci ayant traversé mon muscle et ma peau, cet accident avait été le pire de ma vie. A douze ans, un mètre cinquante, j’appris que je ne grandirais plus, mes os ayant étés trop endommagés.

Quinze ans.

Je peux refaire du sport après trois longues années d’attente interminables. Je pourrais être content, mais moi, j’aurais voulu être plus grand. C’est maintenant là mon seul soucis, ce qui malheureusement maintenant me complexera beaucoup. C’est gênant, d’être petit, de là, on voit le monde tellement moins bien que si on avait grandi. Mais je ne me plains pas, après ma rééducation je peux remarcher normalement et je peux reprendre la gymnastique même si mes parents sont retissant. Evidemment maintenant ils se méfient, réaction normal de tout tuteur affectionné. Entre temps, quelques détails ont changés dans ma vie. Mon père a perdu son travail pour ensuite en retrouver un, mais carrément dans un autre pays. Nous allons devoir déménager, et c’est bientôt mon anniversaire. Nouvelle vie, nouveaux copains, nouveau chiffre à mon compteur de vieillesse, seize ans donc. C’est plutôt cool, je vais déménager au Japon, à Shöshitsu me semble-t-il. Même si mon père ne sera pas souvent là, notre mode de vie sera nettement plus agréable, mais, après m’être renseigné sur la ville, j’ai la crainte qu’il s’y passe des choses pas belles à voir. Mais bon, nous verrons bien.

Seize ans.

Nous voilà installés depuis cinq à six semaines, et pour l’instant, je n’ai rien remarqué d’étrange. C’est plutôt un endroit tranquille, et il y a beaucoup d’endroits de promenades, et j’ai trouvé un club de gymnastique. La belle vie, quoi ! Ma mère à un nouveau travail et mon père ne cesse de voyager, je ne le vois donc que les week-end, mais qu’est-ce que je suis heureux ici. Nouveau pays, nouvelle vie, nouveau départ.

Liem Vãn Hoang, seize ans, un mètre cinquante et je le vis plutôt bien – Ou pas.

Précisions

« Si on vivait dans un monde parallèle, vous seriez tous des nains ! »

♦ Liam aime le vert, et ne s’habille qu’avec ça, tout le temps.
♦ Il adore espionner les gens qui se trouvent derrière lui grâce au reflet d’un objet. Une vraie fouine.
♦ Il a peur du noir et d'être touché par un inconnu c’est d’ailleurs presque les deux seules choses dont il a peur.
♦ Il aime pas qu’on lui touche les épaules, top reflex : Gifle on the face.
♦ Il a un follicule pileux hypertrophié dans ses membranes palmaires. Bon, en courrant, c’est un gros flemmard si ont lui dit rien.

Psychopathe dégénéré Messages : 72 Date d'inscription : 05/03/2012 Age : 36

✥ Je m'auto-valide, on peut faire plein de chose quand on est tout seul, mais moi, au lieu de faire autre chose, je commente ma fiche en m'auto-validant, sisi. J'ai sûrement fais quelques fautes d'orthographe, mais je me vois mal me râler dessus moi même...Je suis donc...Avec le pire suspens au monde:

✿ Validée ✿

Bon, bon, bon ~ Tu as peur mon petit Kinder ? Peur de ce que je vais te dire ? Hihihi, mais ne t'en fait pas, rien de bien méchant ~ Après tout, ce n'est pas mon rôle de corriger les fiches, mais il y a quelque trucs qui me pose problème.

Je vais commencer par quelques petites choses personnelles qui m'ont fait rire...

~ 1 ~

Citation :: Une cavité nasale étroite

... Bref, je suppose que tu as compris, vu que tu m'as dit sur Skype que tu y avais également pensé en l'écrivant ~

~ 2 ~

Citation :: Maintenant, laissons le loisir à la description de passer par l’arrière et de gravir encore une fois son corps.

Oh par Akane... Non mais... Non, mais non mais non ! Raphy... ;_;

~ 3 ~

Citation :: Sexe, drogue, alcool, ce qu’il ne touchera jamais, ça ne l’intéresse pas et surtout, ça le dégoute.

Hihihi... 8D Plus pour longtemps très chère amie ~

~ 4 ~

Citation :: Il aime pas qu’on lui touche les épaules, top reflex : Gifle on the face.

Ca me rappelle un de mes ex xDD

Maintenant, passons au chose sérieuses... *Allume une lampe torche sous son menton dans le noir*
Quelque petites fautes d'inattention je suppose, que j'ai relevé et que j'aimerais que tu corriges ;o;

~ 1 ~
Et il son nom c’est Liem Vãn Hoang. => Et il son nom c’est Liem Vãn Hoang.
Soit tu met une virgule comme ceci => Et son nom, c’est Liem Vãn Hoang.
Soit tu retire le "c' " comme ceci => Et son nom est Liem Vãn Hoang (Ce qui est quand meme plus classe...)

~ 2 ~
Souffre au quotidien grâce à ses étirements et ses exercices => On ne dit pas Grace dans ce cas là, mais A cause, sauf si il est maso, ce qui ne m'étonnerais pas... <3

Bien... Maintenant... Je vais être très sérieuse si tu le veux bien, et je vais te dire franchement : Tu m'as déçu.
Tu m'avais dit que ton personnage serait "Normal"... Je crois que je me suis fait de faux espoirs...

~ 1 ~

Citation :: A cet âge là, je ne comprenais pas très bien pourquoi je n’avais pas de parents

Ca commence fort : Gamin orphelin.

~ 2 ~

Citation :: A douze ans, un mètre cinquante, j’appris que je ne grandirais plus, mes os ayant étés trop endommagés.

Et on continue sur la lancé : Handicapé.

J'ai remarquer que tu ne t'étais pas arrêter en si bon chemin, m'enfin, je n'ai pas tout relever, simplement des exemples... Bref.
Pour finir, j'ai quelques petite questions.

~ 1 ~
Il a peur du noir et des oies => Pourquoi des oies ? oO

~ 2 ~
Il aime pas qu’on lui touche les épaules, top reflex : Gifle on the face. => Pourquoi donc ? Violé ? Agressé ? Blessé ?

Voila ! J'ai fini ~ Maintenant, tu peux me tuer <3

Psychopathe dégénéré Messages : 72 Date d'inscription : 05/03/2012 Age : 36

# Spèce de perverse o/

# Ensuite, pour la première erreur, c'était de l’inattention en ayant pas bien effacer sur Word.

# Après, il n'est pas réellement handicapé, c'est juste sa croissance qui est endommagée et orphelin adopté, du coup, pour moi, ça l'est plus vraiment. Donc il EST normal...Et quand je parlais de normalité, je parle d'un gamin qui vit normalement dans une famille qui l'aime et qui a une éducation saine hein, y a des soucis même chez les 'normaux', uh !

# J'ai toujours eue peur des oies...Traumatisme d'enfant, sisi.

# Il aime pas qu'on lui touche l'épaule parce qu'il aime pas, c'too. Moi j'aime pas qu'on me touche le ventre, c'est comme les gens qui aiment pas qu'on leur touchent leur cheveux.

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